Il va sans dire que le cancer est l\’une des maladies les plus insidieuses qui touchent l\’être humain. Malheureusement, il est incurable. Le seul espoir est qu\’il soit détecté à un stade précoce, lorsque le centre du cancer peut encore être enlevé sans problème. Cependant, dans la plupart des cas, cela n\’est pas possible. Par exemple, il est possible d\’enlever un rein ou une partie de l\’intestin, mais il est difficile d\’enlever le cœur. Il n\’est donc pas étonnant que de nombreux scientifiques tentent de trouver des traitements pour empêcher les cellules cancéreuses de se développer.
Le cancer est une maladie dans laquelle une partie d\’une cellule commence à se développer de manière incontrôlée et perd sa fonction naturelle. Ce faisant, elle empêche d\’autres cellules de se développer. Des organes entiers peuvent ainsi facilement devenir dysfonctionnels et le patient meurt par la suite. Sans parler des autres complications que le cancer entraîne. Nous lisons souvent dans les journaux que les scientifiques ont découvert un nouveau médicament qui détruit les cellules cancéreuses. Ces articles donnent l\’impression que nous ne sommes qu\’à quelques années d\’un remède contre le cancer. Mais la réalité est tout autre. Pour plusieurs raisons, rien n\’a encore été produit. [En premier lieu, il y a le fait qu\’il existe différents types de cancer et que le traitement doit tenir compte non seulement du type, mais aussi du tissu touché. Par exemple, ce qui peut être utilisé pour les poumons ne peut pas l\’être pour l\’estomac. Il est donc pratiquement impossible de trouver un remède universel. Par ailleurs, les substances en question tuent certes les cellules cancéreuses, mais aussi les cellules saines. Dans une mesure bien plus importante que les antibiotiques, par exemple. Il est donc actuellement impossible de créer un remède contre le cancer. Cela nécessiterait beaucoup plus de connaissances scientifiques, que nous ne possédons pas encore. Pour l\’instant, les patients doivent donc malheureusement se contenter des traitements conventionnels, même s\’ils sont souvent palliatifs.