Le terme multiples de chien ou de chat a commencé à apparaître en grand nombre dans les médias à partir de 2014. Il est lié au cas de la présentatrice Jan Smetana, qui a acheté un chiot à sa fille en cadeau pour ses 7 ans. Mais le chiot est décédé peu de temps après l\’achat, et malheureusement c\’était le jour de l\’anniversaire de sa fille. Après la publication de cette histoire, la réaction de centaines de personnes de toute la République, qui ont vécu une situation similaire, a commencé à se produire. Et le problème des éleveurs de chiens qui enfreignent la loi est apparu dans toute sa splendeur.

Comment reconnaître la multiplicité?
Une classification claire est souvent un gros problème car elle n\’est pas définie par la loi. Ainsi, c\’est un terme médiatique pour les chenils qui partagent certaines caractéristiques communes:
Les chiens sont élevés à des fins commerciales. En tant qu\’animaux de compagnie, les animaux sont ignorés. Ils vivent dans des conditions terribles-souvent dans des cages avec une hygiène insuffisante ou dans de très petites zones.
Les chiennes ne sont qu\’un moyen de profit, elles sont donc couvertes à chaque combat, c\’est très inapproprié pour elles du point de vue de la santé – l\’organisme n\’a pas le temps de se régénérer.
Les éleveurs ne prêtent pas beaucoup d\’attention à la santé des chiennes et des chiots. Si la chienne ne peut pas donner naissance à un chiot, elle est généralement euthanasiée. Les poussins se sevrent à un âge précoce, par exemple environ 4 semaines, ce qui entraîne des problèmes psychologiques et comportementaux. Les chenils légaux sont tenus par la loi de retirer les chiots dans les 8 semaines suivant la naissance.
En raison de ce qui précède et du fait que les propriétaires ne tiennent pas compte de la génétique des maladies et des parents, les petits chiens achetés dans de telles conditions sont en très mauvaise santé.

Et la loi?
La question de cette reproduction n\’a pas encore été entièrement résolue par des ordonnances légales. Mais ces installations sont liées par le fait que la cruauté envers les animaux se produit ici, c\’est donc une activité légalement interdite et légalement punie. Mais en l\’absence d\’une définition précise de cette activité illégale ou de ce taux de criminalité, ils continuent de se prêter aux éleveurs d\’animaux.